Cousins…, cousines, tante ( 5)

Babes

Cousins…, cousines, tante ( 5)La semaine s’écoulait… Peu à peu, avec Rebecca, les relations s’apaisaient. Nous allions de branlettes en masturbations, passant de temps à autre, à une bonne séance de minette… Chose que ma cousine semblait adorer, mais qu’elle n’osait réclamer, attendant toujours que ce soit moi qui lui ouvre les cuisses, pour un nettoyage en profondeur.Maintenant, lorsqu’elle m’agrippait les prunes, elle ne me les écrasait plus…, mais m’en câlinait les dessous, comme le ferait une vieille rombière avec son chaton.Ce vendredi, je la trouvai plus aimante…, presque amoureuse.Elle me demanda, si je comptais revenir bientôt et avait même échafaudé un plan, pour que mes parents me laissent chez elle jusqu’à la fin des vacances. N’ayant pas encore eu ma séance de vidange, elle agrippa ma main, et m’obligea à me coucher sur son essuie-main, près d’elle. Se rapprochant de mon oreille, elle me souffla :« Tu connais “69”… ? C’est fait exprès pour pouvoir se caresser ensemble avec la bouche ? .. Je me mets sur toi, à l’envers et comme ça on peut se faire des chatouilles avec la langue ! .. Tu veux… ? »Elle pivota, sans attendre mon aval…, et posa le pont de ses jambes juste au-dessus de ma bouche. Elle avait beau être une gamine sans nichons, mais il me semble qu’au niveau de son entrejambe et de sa libido, elle faisait plus que son âge… En tous cas, elle n’avait pas froid aux yeux, comme le reste de son corps qui bouillonnait. Sa première réaction, fut de rabattre ma queue dans un état d’affolement dantesque sur mon ventre, et de me lécher les couilles avec avidité… Puis, sa langue suivit ma grosse veine bleu azur et s’attarda à me tartiner le gland, mais sans jamais le faire pénétrer entre ses lèvres couleur cerise. Subissant un véritable interrogatoire oral, j’en oubliais sa chatte… C’est cette petite bête, elle-même, qui me rappela à elle. Un énorme jet de mouille vint m’éclabousser le visage, me laissant pantois et ahuri. Puis Rebecca, impatiente, posa sa vulve sur mes lèvres, et commença à se tortiller contre moi… De toute évidence, ma partenaire était en plein orgasme, les soupirs et grognements que sa gorge libérait, en témoignaient pudiquement. Sa langue, tel un serpent, s’enroulait autour de ma verge, tel un lierre autour d’une branche. J’étais attentif à ses effusions, attendant le tekirdaÄŸ escort moment béni où ma bite serait prise pour la première fois de sa vie sexuelle dans la bouche magique d’une femme. Pensant la décider, je lui octroyai plusieurs coups de râpeuse sur son anus, largement ouvert par l’extase et mes attentions. Elle releva aussitôt la tête pour gémir comme une damnée et balbutia :« Ouiiii…,j’adore…, mais je ne te sucerais pas, tu me prendrais pour une grosse salope !!! »Moi, un peu déconcerté par cette divination inattendue :« Moi… ??? »Rebecca replongea entre mes cuisses et me mordilla méchamment les testicules, comme pour me faire comprendre, qu’elle n’était pas dupe. Elle entreprit de me lécher le gland tout en me masturbant…Je sentis une gigantesque lame de fond me submerger et ma purée gicla comme un coca furieux qu’on relâche après l’avoir compressé outre mesure. Je n’y voyais rien, ayant ses jolies petites fesses devant mes yeux… Mais surtout, étant aveuglé par les chutes du Niagara éjectées directement par ce petit trou placé sous son clitoris tendu à l’extrême… Sa tête n’avait pas bougé d’un iota, je ne savais pas où avait atterri ma progéniture, jusqu’au moment où elle se leva en évitant mon regard, pour aller sous la douche. J’aperçus furtivement son visage, couvert entièrement d’une marmelade épaisse, ou d’un litre de sirop d’anis…Elle se dandinait sous la douchette, lorsque, la rejoignant, me plaçant derrière elle, je plaquai mes mains sur sa poitrine, tel un soutien-gorge. Saisissant ses gros tétons entre index et pouce, elle se mit à trembler de tout son être et, plaçant une main derrière elle, me serra les couilles à la limite de l’explosion… Je savais pertinemment, que ce n’était pas de la méchanceté de sa part, mais plutôt, une réaction à mes caresses. Son autre main fila entre ses cuisses, et elle se cambra en arrière… Ses yeux étaient révulsés et sa bouche laissa échapper une plainte sortit tout droit d’un film d’épouvante. Après avoir gémi et frotté sa main sur son intimité un temps infini, elle me susurra :« Ça aussi…, tu le fais pour que je te suce…, comme cela, tu pourras aller raconter à tes copains que ta cousine à pris ta grosse bite dans sa bouche… ! .. Et peut-être même, que tu as juté dedans et que j’ai tout avalé…, hein…, cochon… süleymanpaÅŸa escort ! .. Qui sait…, si tu t’y prends bien…, je perdrai peut être la tête… ! »Celui qui a dit que les voies du seigneur sont impénétrables…, c’est qu’il n’avait pas encore côtoyé de femmes…Ce vendredi se tirait de long en large, marre de rester allongé et à regarder sans limites le mont de Venus s’ouvrir et se refermer selon la position des jambes de sa propriétaire. Je me levai et, arrivé à hauteur de ma cousine, je restai là, à la regarder dormir… J’attrapai une érection monstre, une fois de plus et ma barre à mine trônait à moins d’un mètre de son visage… Sans vraiment ouvrir les yeux, Rebecca murmura :« T’es toujours et encore en érection…, c’est quoi chez moi qui te fait bander ainsi, comme un étalon de harem… ? .. Ma chatte…, ma bouche sur ta queue…, ou alors, mon énorme poitrine ? » S’esclaffa-t-elle.Sans réfléchir, je lui confiai ce qui me passa par la tête, sans me douter des conséquences :« Non…, tes yeux magnifiques…, ils me font rêver à des îles lointaines bordées d’océans bleus turquoise, baignant dans de magnifiques rayons de soleil se couchant à l’horizon… ! »Il y eu un profond silence et Rebecca ouvrit les yeux… Contrairement à ce que je pensais, elle ne se moquait pas de moi, ni même souriait, comme paralysée par mes mots. Elle scrutait mon visage, à la recherche d’un regard moqueur…, mais elle n’en trouva guère. Sans dire un mot, elle se dressa sur ses genoux, et comme dans un ralenti, je vis mon gland disparaître au fond de sa gorge humide et profonde. Ma cousine ferma les yeux, une main passa derrière, pour me tenir une fesse, tandis que l’autre m’enveloppa délicatement les testicules en me les berçant. Ses lèvres brûlantes glissèrent le long de ma hampe… Pour la première fois, mon gland alla se cogner contre une paire d’amygdales féminines. La volupté était immense… À chaque retour sur le bourrelet du gland, je ne pouvais retenir un gémissement de fouine.Il ne fallut pas une plombe pour faire prendre la mayonnaise et, en gentleman, je l’avertis :« Reb…, aaahhh, attention…, ça va cracher…, finis-moi à la main…, aaaahhh, ça va gicler… !!! »Tout en continuant son massage labial, elle leva un regard ironique vers moi, et je cru entendre sa voix :« Ben…, vas-y, ÅŸarköy escort qu’est ce que t’attends…, je ne demande pas mieux ! »La première salve se plaqua tout au fond de sa gorge et ma cousine toussa et eut un haut-le-cÅ“ur, limite vomissement… Ben, peuchère…, sa première pipe… Elle ne savait pas à quoi s’attendre, de plus, moi, en érection de mammouth en manque, la libido énervée par ma première fellation… Je peux dire que le sperme qui me raclait l’intérieur de la bite était dru et bouillant. Elle me ressortit un peu, afin de ne pas étouffer, mais sa langue virevoltant contre mon prépuce me lança le bassin en avant et d’instinct, je lui saisis la tête à deux mains, et lui cognai la luette afin de bien la graisser. Après une nuée de giclées longues et fumantes, j’arrivai enfin aux saccades, lui synchronisant la tête avec mes éjaculations.Elle continua à me sucer tout en me cajolant les couilles, mais la main sur mes fesses, partit entre ses cuisses pour je ne sais quel caresse intime…, mais cela ne nous regarde pas. C’est à ce moment là, que mon regard fut attiré par une forme agenouillée, tapie derrière un buisson, à quelques mètres de nous… Fouillant entre les branchages, mon regard reconnut ma tante, les yeux fixés sur ma queue entrant et sortant de la bouche de sa fille. Je voulus retirer ma bite encore active, malgré le spectacle incongru qu’à mon insu, je faisais profiter ma tante, mais ma cousine, me tenant par les joyeuses, ne me le permit point. De dos au buisson, Rebecca était à des lieues de savoir qui assistait aux réjouissances…J’allais l’en avertir, quand, tante Nath se leva, m’adressa un doigt sur la bouche afin que je me taise, et s’éloigna vers la maison. Encore quelques giclées bien au fond, et Rebecca finit par ressortir mon gland et à me le lécher lascivement, en me regardant aux fonds des yeux. Ma cousine finit par grimacer en se léchant les doigts, puis son visage s’éclaircit et elle me murmura :« Ce n’est pas mauvais…, mais elles étaient drôlement pleines…, pourtant, je te les ais vidées toute à l’heure… ! .. C’est maman qui serait contente de te sucer…, elle qui m’a appris qu’il n’y a pas grand-chose à boire !!! .. Alors…, ma première turlutte…, qu’est-ce que tu en penses ? »À ce moment-là, la voix de ma tante se fit entendre dans l’allée :« Bonsoir les enfants…, j’ai fini beaucoup plus tôt ce soir…, c’est fin de semaine… ! .. On va pouvoir bronzer ensemble demain… ! .. J’espère que vous ne vous êtes pas ennuyés ??? »Tatie me lança un clin d’œil et alla, en maillot de bain, vers la douche… Ma cousine me souffla :« On l’a échappé belle ! » Tout en finissant de se lécher les doigts

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