Stéphanie

Anal

Traduction d’un texte de jackie_em.

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Cette fiction inclut des rapports sexuels non-consentis, des humiliations et de l’esclavage. Si vous n’aimez pas ces thèmes, je ne peux que vous conseiller de ne pas poursuivre votre lecture.

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Mon nom est Stéphanie. A 26 ans, je suis au sommet, ou du moins il me semble l’être. Je mesure 1m75, j’ai une silhouette fine, de jolis seins, de longs cheveux blonds et un joli visage. A l’université, je travaillais à temps partiel pour me payer mes études et arriver à mon but. J’avais de l’ambition, je savais ce que je voulais et j’avais de nombreuses idées de création.

Pendant mes études, j’ai su attirer autour de moi un groupe de personnes très intelligentes et capables. J’avais besoin d’une équipe, car bien que je sois efficace, je savais que je ne pouvais pas tout faire moi-même. J’avais l’idée d’une application Web, inédite et jamais vu sur le marché. Je savais que cette application ouvrirait d’autres horizons aux personnes si elle était bien conçue. J’avais dans la tête de ce à quoi elle devait ressembler, ce qu’elle devait faire et comment devrait être l’interface.

Je ne suis pas vraiment programmeur, même si j’en ai un peu les bases. Mais j’ai trouvé les gens qui peuvent le faire et j’ai utilisé les économies que j’ai su mettre de côté avec mes petits boulots pour payer ces gens-là. J’étais exigeante avec eux, mais autant avec moi. Je travaillais 16 heures par jour, 7 jours par semaine. Je travaillais, mangeais et dormais dans n’importe quel bureau que je pouvais me permettre à l’époque.

J’avais peur de ne pouvoir financer jusqu’à la fin, alors je poussais mes employés. Oui je suis très exigeante, très critique et quand quelqu’un ne fait pas son travail, je lui fais savoir. Si j’avais été un homme, j’aurais été admirée et vue comme un modèle. Oui je m’étais inspirée des personnes les plus performantes dans le monde de la technologie. Mais parce que j’étais une femme, j’étais une garce.

Mon idée principale était que lorsque nous aurions réussi, je récompenserais toutes les personnes m’ayant aidée à y arriver. Mais entre-temps je conservais la propriété exclusive de l’entreprise. Je voulais que personne ne puisse saper mes décisions ou me remettre en question. Je me suis battu, j’ai beaucoup travaillé et nous y sommes arrivés.

Au moment où j’ai publié mon application, je n’avais presque plus d’argent. Je pouvais continuer à payer les gens alors que nous avancions, mais je ne pouvais pas garder mon appartement. De toute façon, je dormais au bureau la plupart du temps.

Le déploiement de mon application se fit normalement et il y eu un bon bouche à oreille. Bientôt, j’eus l’application la plus efficace du marché. Le problème était de gagner de l’argent avec. Bien sûr, elle générait des revenus, mais ceux-ci étaient aussitôt réinvestis dans les salaires ou la publicité.

C’est le problème le plus courant dans ces déploiements technologiques, savoir comment monétiser le succès. Nous sommes devenus rapidement très gros, mais l’argent était dépensé aussi vite qu’il entrait. Nous prenions de l’ampleur, et notre création commença à attirer l’attention de sociétés beaucoup plus grosses. Je savais que si nous pouvions conserver et augmenter notre succès pendant encore six mois, nous serions incontournables sur le marché.

Mais cela signifiait de défendre notre territoire contre les nouveaux arrivants qui essayaient de nous voler notre marché et nos clients. Il fallait que nous continuions à améliorer notre produit tout en défendant notre part de marché. Mais avec une trésorerie aussi faible, ça devenait de plus en plus difficile. C’est à ce moment qu’un autre géant en matière de technologie que je nommerais pas, me proposa de me racheter.

Je ne voulais pas vraiment vendre, mais je n’étais pas sûr que mon entreprise survive si je ne le faisais pas. J’avais l’exemple de beaucoup de nouvelles entreprises ayant inventées de nouvelles choses se faire ruiner par de grosses sociétés. Je ne voulais pas devenir un de ces nouveaux entrepreneurs de génie mis sur la paille par fierté. Alors quand ils m’ont contactée et m’ont offert de l’argent pour mon entreprise, je me suis mise à réfléchir.

Je savais que cette grosse société avait les ressources techniques et le poids financier nécessaire pour réussir. Ils offraient un financement pour la totalité. Je perdais tout, mais en fin de compte je n’y voyais aucun inconvénient. Je pourrais recommencer autre chose, j’avais des idées plein la tête. Bien sûr, ils étaient assez rigides sur ce sujet, mais moi aussi. Ils voulaient que l’on fixe une clause de non-concurrence, mais j’ai restreint celle-ci au segment de marché de mon application. Du coup, ça me laissait encore de nombreuses alternatives.

J’allais obtenir 250 millions de dollars pour mon entreprise. C’était pas mal pour 4 ans de dur travail. J’ai négocié en secret, seul l’avocat de l’entreprise était au courant de ce qui se passait. J’avais besoin de lui pour m’assurer que tout allait bien. La société accédante voulait que je signe un Escort BahçeÅŸehir contrat de services personnels. Ils voulaient que je fournisse des services de marketing et de promotion de l’entreprise après l’avoir vendue.

Je n’étais pas trop d’accord avec ça. Après avoir vendu, je voulais juste ne plus m’en occuper et les laisser faire comme ils voulaient. Mais ils m’ont dit qu’ils me paieraient pour ça. Je n’étais toujours pas d’accord, car avec 250 millions à la banque, ça me suffisait. En fin de compte ils ont conditionné la vente à la signature de ce contrat de services personnels. Je suis allé voir mon avocat.

– Georges, regarde ça attentivement. Je n’aime pas cette idée et je ne veux pas que l’on puisse me tenir en laisse plus tard.

– Bien sûr patron!

Peut-on faire confiance à son avocat? Je l’ai fait. Et il s’avère que je n’aurais pas dû. Il m’avait dit que tout était bien et que je n’aurais pas de mauvaises surprises, que je devais aller de l’avant. J’ai regardé alors ma comptabilité et je me suis demandée combien de temps je pouvais continuer à payer mes employés avec le peu d’argent qui entrait. Sans publicité continue, ma part de marché commencerait à chuter et mangerait encore plus mes fonds.

Lors de l’un de mes petits emplois à l’université comme mannequin, j’avais dû aller en Suisse et j’y avais ouvert un compte en banque. Je n’y avais pas beaucoup d’argent, mais je savais qu’il était difficile pour le fisc d’aller chercher des renseignements auprès des banques suisses. Donc j’ai insisté pour qu’à la vente, les fonds soient virés sur mon compte bancaire suisse. Les acheteurs ont refusé dans un premier temps, puis ils ont finalement accepté.

Ils ont insisté pour que la signature de la vente se fasse dans un appartement luxueux, juste à l’extérieur de la ville. J’étais d’accord, peu importe où nous signions du moment que j’étais payée.

Le jour dit, j’arrive à l’appartement. Il est très agréable, mais un peu étrange. Il est composé d’un salon luxueux, d’une chambre simple et d’une salle de bain. Le seul accès est un ascenseur avec des clés spéciales qui ouvraient l’immeuble et conduisait l’ascenseur à ce seul appartement.

Il y a une belle table. Je m’assois autour ainsi que mon avocat et deux cadres de la société qui achète mon entreprise. Je dois normalement signer l’accord à huit endroits différents. Après la septième signature, je leur demande de virer l’argent à ma banque avant de signer une dernière fois. Ils ne sont pas trop contents, mais ils le font. J’utilise mon téléphone pour vérifier. Dès que je vois que la somme est virée, je signe la dernière page.

– Voilà Messieurs, vous possédez maintenant mon entreprise.

Les deux cadres se regardent et sourient cyniquement, puis ils me répondent :

– Plus les avantages secondaires, si l’on peut dire!

– Des avantages secondaires? De quoi parlez-vous?

C’est alors que je sens quelque chose qui se ferme sur mon cou. J’ai l’impression qu’il s’agit d’un collier en métal. Je fais le tout avec mes mains et je ne trouve pas le moyen de l’ouvrir. Je m’énerve alors :

– Qu’est-ce que c’est que ça? Enlevez-moi ce truc!

РAttendez! Maintenant, vous avez un contrat de services personnels avec nous. Si vous le relisez vous constaterez que ̤a en fait partie.

Je me tourne alors vers mon avocat qui, me semble-t-il, est la personne qui m’a mis le collier.

РJe croyais que tu avais v̩rifi̩ le contrat?

– Je l’ai fait, croyez-moi!

– Et je dois porter un putain de collier?

– Oui, c’est pourquoi je vous l’ai mis!

РJe pensais que tu travaillais pour moi et que tu veillais sur mes int̩r̻ts?

– Disons que je veille d’abord sur mes propres intérêts. Ils m’ont fait une très belle offre pour éviter de vous tenir au courant de certaines dispositions contractuelles.

РSalaud! Esp̬ce de fils de pute!

– Oui! Et vous, vous êtes une garce avec moi et tous les autres employés de l’entreprise depuis très longtemps.

– J’ai juste essayé d’être juste.

– Vous avez essayé d’être juste? Vous nous avez poussés au travail, vous nous avez humiliés tout en nous faisant travailler presque sans repos.

– J’ai travaillé très dur moi aussi!

– Mais vous repartez avec des millions d’euros, alors que nous aurons de la chance si les nouveaux patrons conservent nos emplois.

– Je n’ai pas à supporter ça! Je m’en vais!

Les deux cadres se regardent et sourient tandis que je me lève et me dirige vers la porte de l’appartement. Je l’ouvre et quand je mets un pied dehors, je sens des décharges électriques qui traversent mon corps. Ça vient du collier qui m’électrise. C’est tellement brutal que je m’effondre sur le sol, mon corps tremblant des décharges qui le traverse. Je reste comme ça jusqu’à ce que Georges me ramène dans l’appartement et ferme la porte.

РVous resterez dans cet appartement pendant la dur̩e de votre contrat de services personnels.

РEt quelle est la dur̩e?

– Cinq ans!

РVous plaisantez? Cinq ans? Je suis coinc̩ ici pour cinq ans?

Bahçeşehir Escort Bayan Oui, sauf si nous décidons de vous laisser sortir pour une quelconque raison.

РEt mes v̻tements? Et la nourriture? Et tout le reste?

– Puisque vous en parlez, il faut aller de l’avant. Déshabillez-vous!

– Sûrement pas!

– Nous pouvons vous punir avec ce collier, même à l’intérieur de l’appartement.

– Conneries!

Je sens alors un léger picotement sur le cou. Je regarde les hommes qui ont un grand sourire sur leurs visages.

– C’était juste pour vous montrer! Voulez-vous vraiment que nous augmentions le niveau de douleur?

– Vous n’allez pas oser?

– Bien sûr que si! Vous avez humilié beaucoup de personnes, il est juste que vous goûtiez vous aussi à l’humiliation.

Je me tourne alors vers Georges :

РPourquoi les laisses-tu me faire ̤a?

– Pour l’argent et l’opportunité de participer à votre humiliation.

РAssez de discussions! D̩shabillez-vous maintenant!

Je sens les picotements augmenter autour de mon cou, mais ça reste à un niveau de douleur acceptable. Je ne sais pas exactement ce qu’ils veulent, mais je ne veux plus de grosses décharges électrique comme tout à l’heure.

Je retire lentement ma veste que je pose sur le dossier d’une chaise. Je regarde les trois hommes. Ils ont des sourires vicieux et déterminés. j’enlève mes talons hauts et je les mets sur la chaise. Puis je m’arrête. Ils continuent de sourire.

– Continuez!

Je porte une jupe classique. Je défais la ceinture, puis je déboutonne le bouton juste au-dessus de la fermeture éclair sur le côté. Je m’arrête et ils me font signe de continuer. Je dézippe la jupe et je l’enlève. Je la plie soigneusement et je l’ajoute sur la chaise.

– Le chemisier maintenant!

– Vous aimez vraiment ça, n’est-ce pas? Bande de salauds.

РOui nous appr̩cions. Et nous sommes des salauds oui. Continuez!

Je les regarde en déboutonnant mon chemisier blanc. Il n’était pas fermé jusqu’à mon cou, mais il ne montrait pas de décolleté. Je me dis qu’il va bien falloir que je montre un sein pour les satisfaire. Une fois le devant déboutonné, j’enlève les boutons aux poignets et je fais glisser mon haut. Je sens la colère monter. Ils peuvent bien me faire déshabiller, mais ils n’arriveront jamais à me rabaisser, quoi qu’ils fassent.

Je pose mon chemisier en travers du dossier de la chaise et je reste immobile en soutien-gorge et culotte, les bras croisés, un pied tapant le sol. L’un des cadres a un petit rire :

– Classique, mais sexy à ce que je vois!

– Que voulez-vous?

– Je veux que vous retiriez votre soutien-gorge. J’attends!

Je le fusille du regard et je sens un petit picotement autour du cou. D’une manière ou d’une autre je m’en sortirai. Ils me paieront ce qu’ils me font faire. En attendant, je n’ai pas d’autre choix que de faire ce qu’ils demandent. Je tends la main dans le dos et je décroche mon soutien-gorge. Je le laisse tomber en avant et je dévoile mes jolis seins. Je suis gênée, car mes mamelons sont durs et dressés.

Ça me met encore plus en colère. Je mets le soutien-gorge sur la chaise, puis je place mes mains sur mes hanches sans essayer de couvrir ou cacher ma poitrine. Je ne veux pas leur donner le plaisir de croire qu’ils m’embarrassent ou m’humilient. L’un des cadres sourit et se tourne vers l’autre :

– C’est encore plus joli que ce à quoi je m’attendais. Ils sont fermes et ne s’affaissent pas. Qu’est-ce que tu en penses?

– Très joli, c’est sûr!

Je suis debout alors qu’ils commentent la beauté de mon corps comme si j’étais une voiture ou un objet de valeur.

– Très bien, finissons-en! Enlevez votre culotte! Je n’ai pas de rendez-vous, mais j’ai hâte.

Georges et l’autre cadre acquiescent tous les deux. Je fais glisser ma culotte le long de mes jambes, la récupère sur le sol et l’ajoute à mes autres vêtements. Je remarque qu’elle est légèrement humide à l’entrejambe.Je suis dégoûtée à l’idée que je peux être excitée de me déshabiller devant trois hommes. Mais le fait est que c’est peut-être ça.

РAlors, vous vous ̻tes bien amus̩s maintenant?

РMa ch̬re St̩phanie, le plaisir ne fait que commencer. Et il continuera pendant un certain moment.

– Que voulez-vous maintenant?

– Je pense que comme nous nous connaissons mieux, nous pouvons te tutoyer, non? Alors, mets-toi à genoux!

– Pourquoi?

– ne pose pas de questions, fais-le!

Je sens le collier picoter à nouveau. Alors je tombe à genoux. Georges s’approche alors et se place en face de moi. L’un des cadres reprend la parole :

– Baisse sa braguette!

– Vous ne vous attendez pas à ce que je…

РSi si! Ob̩is!

Je suis énervée. Ils vont plus loin que ce à quoi je m’attendais pour simplement m’humilier. Je descends la braguette de Georges et je lève les yeux vers lui. Je vois alors le sourire le plus vicieux que j’aurais pu imaginer voir.

– Maintenant, sors sa bite et suce-le! Laisse-moi t’avertir que si tu le BahçeÅŸehir Escort blesses de quelque façon que ce soit, la douleur que tu as ressentie en franchissant la porte ne sera rien comparée à ce que nous te ferons.

Je ne sais pas si j’aurais essayé de lui faire du mal, mais ça ne fait qu’empirer les choses. Je ne veux même pas le regarder pendant que je fais ça. Il m’a trahi pour de l’argent et la possibilité de m’humilier. J’ai beaucoup de peine à le croire. J’étais dure envers mes employés, y compris Georges, mais je n’ai jamais eu l’impression d’être injuste. C’est inimaginable.

De toute façon, tant que je porte ce maudit collier, je n’ai pas d’autre choix que de faire ce qu’ils disent. Alors je sors la bite de Georges et je la regarde. Je la vois durcir dans ma main. Je me tourne alors vers les deux cadres et je réalise qu’ils ont filmé alors que je me déshabillais et qu’ils continuent. Non seulement, ils essaient de m’humilier, mais ils vont aussi en garder des preuves vidéo.

Mon collier me picote à nouveau, alors je mets le gland entre mes lèvres et je le suce comme une sucette avant de l’éloigner. Je peux sentir un peu de liquide pré-éjaculatoire au bout de sa bite. Je décide alors de leur en donner pour leur argent et je reprends le sexe en bouche, un peu plus profondément cette fois en caressant le reste de la tige avec ma main. Georges gémit et pose sa main sur l’arrière de ma tête.

Mon ancien avocat sort et entre sa queue dans ma bouche en allant de plus en plus profond. Il arrive presque à m’étouffer. Je fais ce que je peux avec mes lèvres, ma langue et ma main, alors que Georges me baise la bouche avec enthousiasme. Je mets mon autre main sur sa hanche pour me caler, tout en utilisant l’autre pour le caresser et l’empêcher de pousser sa bite trop loin dans ma gorge.

J’ai du mal à respirer quand Georges tire ma tête sur lui le plus possible et qu’il éjacule dans ma bouche et ma gorge. J’essaie d’avaler pour ne pas étouffer avec sa bite et son sperme, mais il me faut déglutir plusieurs fois pour en ingurgiter la majeure partie. Enfin, l’homme relâche ma tête et je peux m’éloigner de lui pour reprendre mon souffle.

Alors que je recommence à respirer normalement, je me lève et je fais face aux deux cadres :

– Vous avez donc eu votre petit spectacle. Vous m’avez faite déshabiller et sucer quelqu’un devant une caméra. Vous vous sentez plus heureux maintenant?

– Stéphanie, tu as un contrat de cinq ans, donc ce n’est que le début, juste le matin du premier jour. Tu verras beaucoup plus de bites avant le fin de ton contrat.

– C’est de la prostitution! C’est illégal! Vous ne pouvez faire ça!

– En fait si, nous le pouvons. Premièrement les termes de notre contrat t’oblige à fournir tous les services que nous demandons. Deuxièmement, nous avons donné de l’argent à quelques personnes et nous avons obtenu une dérogation aux lois sur la prostitution pour ton contrat et cet appartement.

– Vous voulez dire que vous avez l’intention de me faire sucer des gens durant les cinq prochaines années?

РPas seulement ̤a! Tu vas les baiser aussi, avec ta chatte et ton cul! Tu es maintenant la pute de notre entreprise.

РPourquoi? Vous pouviez faire la m̻me chose pour beaucoup moins cher! Pourquoi moi?

– Tu as agacé beaucoup de personnes, dans et au-dehors de ton entreprise. Et comme tu viens de vendre, tu as tout et eux ils n’ont rien.

РIls re̤oivent un salaire!

РOui, mais maintenant, ils vont avoir plus. Appelle ̤a comme un bonus de vente et une chance de pouvoir se venger de la femme qui les a malmen̩s pendant toutes ces ann̩es.

– Écoutez, j’ai l’argent de la vente. Je vais partager. Que voulez-vous pour eux? Cinquante millions? Ne me faites pas ça!

– Tu ne comprends pas. Tu pourrais bien offrir tes 250 millions qu’ils n’en voudraient pas. Ils ne veulent pas d’argent, mais un retour sur investissement de toutes ces années à se défoncer au travail pour une garce.

– Non, s’il vous plaît!

– Je crois que Georges veut plus! N’est-ce pas Georges?

Je me retourne et je vois que mon ancien avocat a enlevé tous ses vêtements. Il est debout, le sexe plus raide que jamais.

РMaintenant je veux te baiser. Allonge-toi et ̩carte les jambes!

Je me tourne vers les deux cadres qui sourient. Je sens le collier picoter à nouveau.

– Vous voulez dire ici?

– Pourquoi pas?

Je m’allonge sur le sol et écarte les jambes. Ma chatte est bien taillée, mais pas rasée. L’un des cadres dit alors :

РNous te ferons raser cette chatte une fois que Georges aura totalement termin̩. Il faut garder ̤a bien propre.

Georges s’étend sur moi et s’allonge, puis il commence à jouer avec mes seins. C’est alors que je gémis et que je sens que je m’humidifie encore plus entre mes jambes. C’est vraiment humiliant que ça me fasse réagir ainsi. Mon corps apprécie ce traitement et réagit. Je ne peux rien y faire alors qu’il joue avec mes seins. Je commence à bouger mes hanches.

– Cette salope commence à apprécier, n’est-ce pas?

Georges commence à sucer l’un de mes mamelons alors qu’il joue avec l’autre. Puis il glisse une main sur ma chatte. Il suce et mordille l’un de mes seins alors qu’il caresse et pince doucement l’autre. Mes mamelons sont plus durs que jamais ils ne l’ont été.

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